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Duke shfaqur rezultatin -9 deri 0 prej 3
  1. #1
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    15-06-2007
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    Dituri Dizdari

    DITURI DIZDARI




    A MON REVEIL



    Fierté vaine, folle,
    tu as asservi ma jeunesse,
    mes reves, ceux qui m'étaient chers.

    Je vous aime, mes amours, mes désirs,
    plus fort que personne d'autre ne vous a aimées.
    Vous a qui je n'ai pas dit « Je vous aime ».

    Autour d'un feu, au crépuscule, un regard
    ne m'avait jamais quittée.
    Je n'ai jamais tourné la tete.
    L'esprit confus, je voyais bruler les branches tendres.

    Visage que je n'ai pas vu, je t'ai reconnu.
    J'ai tourné vers toi le visage qu'avait alors
    mon amour fébrile.
    Plus fort que jamais je t'embrasse sur les yeux, la bouche, les mains.

    En proie a la nostalgie, a la souffrance.

    Je jette un regard neuf sur vos visages.
    Vous etes la, telles que je vous ai revées.
    Sur une jeune planete, sous un autre soleil, plus frais.
    A présent, mon āme est si heureuse qu'elle a mal.

    Oh, quelle merveille de situations nouvelles
    qui vibrent sur tout le spectre de la lumiere.

    Je ne peux plus rien dire,
    ne me le demandez pas.
    J'ai peur..., peur que mon reve
    ne s'évanouisse a jamais.

    Rien n'est aussi beau.
    Rien.
    Jamais.
    A mon réveil.




    J'AI SOUVENT PENSE…



    Dis, comment l'instant se fixera-t-il
    dans ton regard ?

    L'oiseau de l'éthique pourra-t-il y voler ?

    La parole coulera-t-elle dans la gouttiere de la raison
    ou bien mettra-t-elle a nu le vécu ?

    Pourrons-nous nous libérer
    du feu qui couve au foyer de la nostalgie
    pour que les ponts brulent volontiers ?

    Le soir mourra-t-il dont la surface regorge
    de toutes sortes de visions, de précipitations de l'univers,
    dont se dégagent comme dans un brouillard victoires et défaites
    équidistantes de moi.

    Page vierge ou la solitude grave sa puissance.

    Victoires et défaites, aveuglement de la fatigue qui
    happe l'instinct, un peu de l'énergie infini de l'etre,
    qui rajeunit et sauvegarde toujours la source,
    comme un vaisseau spatial qui s'envolera bientōt vers Mars,
    pret a de nouveaux départs.

    Victoires et défaites, grandeurs sur l'axe des abscisses,
    chacune différente de l'autre, chacune unique.
    Différents itinéraires, différentes arrivées,
    diagrammes en zigzag de peines, d'ahans, de déboires,
    d'oublis pour si peu de défis, si peu d'amour
    dans ton retour humain.




    RIRE DE LA VIE



    Cette journée a māché, digéré les célestes araignées.
    Elle véhicule du sang chaud, des feux multicolores,
    Des bourdonnements de néant dans les capillaires.
    Je suis bercé comme un enfant, un nourrisson.

    Les délires flottants ont coupé la corde avec le tranchant de la vie.
    Divagations d'impressions humaines sur la meme ligne droite que le lit.

    Mais le réveil
    asperge d'une lumiere d'été les aurores, ces couronnes royales.
    Rire de la vie, on n'est jamais assez fou pour le faire.
    Soudain jaillissent les amours ailés, les désirs.




    LA TANGENTE



    Tel un nuage ailé, tu erres dans une liesse sans fin,
    multiple infatuation, aliénation.
    De tes mains tu touches le firmament.

    Tous sont beaux, aimables avec toi,
    ils t'aiment, tu focalises leur attention.
    Ils parlent de toi, de tes exploits.

    Pourtant, de la, partent les fourmis des zéros.
    Tout le spectre de la lumiere devient gris.

    Tu crains la chute. Tu t'aperēois d'un changement.
    L'effet en est percutant, naturellement.




    LES YEUX DE L'AMOUR



    Ils te réveillent et l'éclat d'un autre monde
    t'éblouit. Autour de toi, tout rit et joue avec le soleil.
    Tu regardes ton passé et tu le sais, ma chere, ton rire
    retentissant fait peur a ceux qui, tres riches, se cramponnent
    a leur poste avec, a la place de l'āme, des guenilles crasseuses.

    Ils ne connaissent pas l'amour, la gratitude, la bonté.
    Ce sont des homines sapientes abātardis en hommes modernes,
    Pour eux les yeux de l'amour ne sont que de simples moyens et,
    en hypocrites, ils ne jurent que par eux.

    Les yeux de l'amour te réveillent et toi...




    ARRETE UN PEU



    Arrete, arrete un peu, sois sage,
    écoute pour une fois les paroles de ma bible,
    du grand coup terrestre, devenues des enseignements,
    des paroles de divinités de l'āme, qui n'ont jamais manqué
    a la parole qu'elles t'ont donnée.

    Laisse-moi rester pres de toi comme je l'entends,
    déboutonner ton col, a l'angle de ton cou,
    sentir la douceur de ta peau, cette īle sauvage descendue
    des montagnes altieres ou je suis seule a errer.
    Toute une éternité que personne ne peut me donner.
    Il n'y a qu'en toi que mon reve s'est réveillé.
    Je suis devenue femme, mere, humaine. Je suis une grande dame.

    Laisse-moi rester un peu la ou se reposent et dorment
    mes baisers, mes caresses, comme des papillons,
    chacun différent de l'autre.

    Laisse-moi donc t'embrasser comme un enfant
    Semblable au point du jour qui unit les montagnes.



    Traduit par Edmond Tupja





    SEI ARRIVATO TU

    per Massimo Ranieri

    Mille giorni come questo-illuminati risplendono
    Si svegliano, corrono, giocano, profumo di gioventś emanano…
    Ti vedono dal vivo
    Ti toccano lo sguardo
    Il passo, la fatica, il canto eterno, l’anima

    Un’intera vita di Dio…

    E lo stesso stupor si ribella, fioriscono
    ad uno ad uno si aprono i petali, le canzoni d’amore
    e del sogno…
    Vent’anni-mezzo secolo, l’erba di casa mia, rose rosse
    Come il tuo compleanno in mezzo agli albanesi
    Perdere e riavere l’amore. Per una donna…
    Quanti albanesi vibrebbero con te
    luce pazza di gioia e lacrime negli occhi…

  2. #2
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    dituri dizdari
    Ndryshuar pėr herė tė fundit nga Dituri Dizdari : 16-07-2007 mė 19:41

  3. #3
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    DITURI DIZDARI





    LASCIAMI UN PO




    Lasciami, lasciami un po' sta calmo
    ascolta una volta le parole della mia bibbia
    dela scossa terrestre che in insegnamenti
    si sono trasformati, in parole degli dei dell'anima, che mai
    hanno tradito la promesa solenne a te fatta.

    Lasciami un po', restarti accanto, cosi come voglio
    slacciarti il bottone del colleto, li all'angolo,
    sentire la pelle morbida - isola selvaggia
    discesa dai monti orgogliozi, dove soltanto io vago.

    Tutta un'eternita che nessuno poteva donarmi.
    Solo presso te si č svegliato il sogno della mia vita.
    Sono diventata donna, madre, essere umano.Sono padrona della terra.

    Lasciami restare un po' li, dove riposano e dormono
    i miei baci, le mie carezze, farfalla dietro farfalla
    nessuna uguale.
    Lasciami dunque baciare come un bambino
    la prima luce dell'alba dove si incontrano le montagne.



    C'ETAIT UN SOIR



    Son étoile, mon amour,
    a essoufflé les secondes.

    Une feuille est tombée.

    .
    .
    . .
    Tes pas
    ton regard
    ton sou-
    rire
    .
    .

    En mźme temps que de silence, le soir
    était murmure de feuilles...

    Tout a frémi
    ą ton arrive.

    C'etait le soir.




    DIMENSION SUBCONSCIENTE



    Espace blanc dont la surface regorge
    de toutes sortes de visions, de précipitations de l'univers,
    dont se dégagent comme dans un brouillard victoires et défaites
    équidistantes de moi.

    Page vierge ou la solitude grave sa puissance.

    Victoires et défaites, aveuglement de la fatigue qui
    happe l'instinct, un peu de l'énergie infini de l'etre,
    qui rajeunit et sauvegarde toujours la source,
    comme un vaisseau spatial qui s'envolera bientōt vers Mars,
    pret a de nouveaux départs.

    Victoires et défaites, grandeurs sur l'axe des abscisses,
    chacune différente de l'autre, chacune unique.
    Différents itinéraires, différentes arrivées,
    diagrammes en zigzag de peines, d'ahans, de déboires,
    d'oublis pour si peu de défis, si peu d'amour
    dans ton retour humain.




    J'AI SOUVENT PENSE…




    Dis, comment l'instant se fixera-t-il
    dans ton regard ?

    L'oiseau de l'éthique pourra-t-il y voler ?

    La parole coulera-t-elle dans la gouttiere de la raison
    ou bien mettra-t-elle a nu le vécu ?

    Pourrons-nous nous libérer
    du feu qui couve au foyer de la nostalgie
    pour que les ponts brulent volontiers ?

    Le soir mourra-t-il dans le giron de l'aurore…
    quand nos pas auront soudain affronte leurs traces ?

    J'ai souvent pense…



    Traduit par Edmond Tupja
    Ndryshuar pėr herė tė fundit nga Dituri Dizdari : 19-07-2007 mė 15:25

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