ketu le te postohen poezi nga me te ndryshmet
ketu le te postohen poezi nga me te ndryshmet
Edhe ne gjuhe te huaj?
- - Shumė shpesh ndodh rasti, kur dhembjen nuk mund ta ndash me askė!
Agim Metbala" ♥
Qfar te duash>
Jom dhe sjom
kanier e konektume
kanier e dekonektume
mo ba kriet si robot
e programume kot e kot
ket me stres po mshkon mue
tu mundue ma mir me shkrue.
Je T'Aime
Tu sais mon coeur se meurt d'amour,
il crie détresse lorsque mon corps
n'est pas recouvert par ta chaleur.
Il me dit qu'il se sent mal,
lorsque le chemin de la vie nous sépare
et qu'il verse de grosses larmes.
Mon amour, est bien plus fort que moi,
il est infini, impérissable...
Mon coeur est prisonnier,
je ne vois que toi, je ne respire que ton parfum,
et toutes mes pensées te sont destinées
car dans mon esprit tu demeureras pour l'éternité...
Je t'aime tellement que je n'ais pas de mots,
je suis heureuse ą cōté de toi,
je suis triste quand je suis loin de toi,
je t'aime au-delą des sens, tu vois?
De te connaītre je ne peux exprimer ma joie.
Nous pourrions voler dans un monde parfait,
je voudrais tant savoir ce que c'est
de voyager comme ēa main dans la main,
en sachant que ce sera aussi beau le lendemain.
sdi pse me pelqen kjo poezi!Ndoshta se me duket se eshte e shkruar perr mua.
J'arrive oł je suis étranger
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Rien n'est précaire comme vivre
Rien comme źtre n'est passager
C'est un peu fondre comme le givre
Et pour le vent źtre léger
J'arrive oł je suis étranger
Un jour tu passes la frontičre
D'oł viens-tu mais oł vas-tu donc
Demain qu'importe et qu'importe hier
Le coeur change avec le chardon
Tout est sans rime ni pardon
Passe ton doigt lą sur ta tempe
Touche l'enfance de tes yeux
Mieux vaut laisser basses les lampes
La nuit plus longtemps nous va mieux
C'est le grand jour qui se fait vieux
Les arbres sont beaux en automne
Mais l'enfant qu'est-il devenu
Je me regarde et je m'étonne
De ce voyageur inconnu
De son visage et ses pieds nus
Peu a peu tu te fais silence
Mais pas assez vite pourtant
Pour ne sentir ta dissemblance
Et sur le toi-mźme d'antan
Tomber la poussičre du temps
C'est long vieillir au bout du compte
Le sable en fuit entre nos doigts
C'est comme une eau froide qui monte
C'est comme une honte qui croīt
Un cuir ą crier qu'on corroie
C'est long d'źtre un homme une chose
C'est long de renoncer ą tout
Et sens-tu les métamorphoses
Qui se font au-dedans de nous
Lentement plier nos genoux
O mer amčre ō mer profonde
Quelle est l'heure de tes marées
Combien faut-il d'années-secondes
A l'homme pour l'homme abjurer
Pourquoi pourquoi ces simagrées
Rien n'est précaire comme vivre
Rien comme źtre n'est passager
C'est un peu fondre comme le givre
Et pour le vent źtre léger
J'arrive oł je suis étranger
Louis Aragon
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